Repérage des lieux.

Sam : 

C'est mon premier jours ici enfin je suis surtout ici en repérage. Quand j'ai appris se qu'il faisait ici je ne pouvais faire l'ignorant et laisser ses humain artificiel souffrir de la sorte...Pour moi meme si il ne son pas comme nous cela ne pas nous empêcher de les ignorer...eux n'ont pas demander a vivre tout sa....Je marcher alors dans le couloirs retenant chaque lieux que je voyais.

(Nan, là c'est Dean! x)

- Okan -

Il y a des pas, dehors. Je reste adossé à la porte.

Personne n'entre dans la fondation sans une carte. On m'avait prévenu de la visite d'un étranger, et j'étais censé le faire fuir. Ou... Du moins, ne pas le laisser entrer plus longtemps que ça à l'intérieur.

Je ferme les yeux, l'arrière du crâne contre la porte. La matière est froide...

Je soupire. Tandis que j'entend ses pas je rapprochais, j'ouvre la porte et débarque juste en face de lui, le regard froid. Comme tout le reste avec moi, de toute façon.

" - Tire-toi." ais-je ordonné

( Ah oui la boulette xD )

Dean : 

Alors que je marchais regardent partout en surveillant les alentours j'entends une porte s'ouvrir et un jeune garçon en sort et me disait de partir d'un ton froid qui ne me faisait ni chaud ni froid et a vrai dire je m'en fichais un peut.

- Tien...un humain artificiel...

Je disais sa calmement.

(T'inquiète. :')

- Okan -

Je prend une grande inspiration. Peu m'importais, que je le blesse ou non. Mon rôle n'était pas de jouer les baby-sitters. Et je vais m'y convenir. Mon cœur s'impatientais de ce dragon de rage, et furieux. J'aimais faire mal. Je n'allais pas m'en empêcher. Et puis, ce n'est qu'un humain. La glace contre lui, il ne pourra strictement rien faire.

" - J'ai dis, casse-toi." recommençais-je

Dean : 

Je le fixe longuement.

- Oh je voie...tes du type j'obéis au ordre comme un chien. Humm...tes plutôt mignon pour un garçon de ton genre.

Mentir ne servira a rien et puis j'aime pas sa...pour moi ce n'est qu'un jeune garçon...je ne voie pas en quoi il es différent a part des pouvoirs d'après se que j'ai réussi a lire la dernière fois.

- Okan -

Je ne suis pas un chien. J'obéis aux ordres, certes. Mais pas comme un chien. Je défend leur intérêt. Je ne les crains pas comme un chien crains son maitre, ou souhaite le rendre fier. C'est différent. Mais je n'ai rien dit. Je savais que je n'avais pas le droit d'utiliser mon pouvoir, si cela obligeait de dégrader le couloir. Alors je m'empressais de geler seulement les jambes de l'inconnu. Et j'allais attendre que les gardes viennent l'abattre. Et je ne disais rien. Mignon, moi? Pffr. C'était flatteur, et je savais moi-même que je n'étais pas malchanceux. Mais quand même.

Dean : 

Je le voie geler mes pieds mais je ne dit rien et a vrai dire je ne suis pas surprit de son pouvoir...puis il alla chercher des gardes.

- Tu a besoin d'eux pour te débarasser de moi ? 

Je fis un léger sourire en coin.

- Okan -

" - Tu te plais à me vexer, à me blesser? Tu n'es pas drôle, CE n'est pas drôle. Je fais juste mon travail, tu n'as pas le droit de m'attaquer. Si je ne le fais pas, je mériterais pire que toi. Alors ravale tes paroles s'il te plait."

Ouh, le "s'il te plait" semblait si sincère, que je me posais des questions. Aucune des paroles que je venais de lui dire n'étaient véritablement sincère. Je voulais juste le prendre par les sentiments pour le faire taire un peu. Et puis, n'y avait-il pas un peu de vérité? Après tout, je ne lui avais rien demander pour qu'il soit méchant et vulgaire avec moi. Je faisais effectivement ce que l'on m'avait demandé. Non pas comme un chien. J'ai accepté pour mon propre plaisir. Voilà tout.

Mais.

D'habitude, je reste froid. Je me tais. Aucune de leurs paroles ne m'atteignent ou ne me font du mal. Mais là, tout semblait complétement différent. Je lui avais répondu, et je n'aurais peut-être pas du?

Je secouais la tête. Quand est-ce qu'ils allaient arrivés, ces soldats?

Dean :

- Entre nous ,qui attaque qui ? Je ne suis qu'un simple humain a la différence de toi qui subit des choses que même un être artificiel ne devrait subir. Je sais plus de chose sur vous que vous ne le penser. Tu n'a pas a subir tout sa. Tu n'a jamais penser a partir ? Etre dehors a l'air libre. "

Je le regarde sans montré de peur et je n'en n'avais aucune. Rien ni personne ne me fait peur.

- Okan -

Je m'adossais au mur. Je n'avais pas envie, de sortir. Lorsqu'il me parlait, je fixais la porte de sortir.

Aller dehors? J'ai tourné la tête, en fixant le sol. Plus loin, j'entendais le pas nerveux et trop régulier des soldats. Je faisais disparaître la glace autour des chevilles de l'inconnu.

" - Tu devrais t'en aller. Je ne traine pas avec les gens de "dehors"."

J'avais certainement un problème avec ce dehors. J'étais très bien, là. On ne me faisait pas de mal, parce que j'étais fidèle. Je n'avais pas d'amis. Personne ne voulait de moi. Tout le monde voulait aller dehors. Et quand le seul gamin aux goûts différent pense différemment, il se fait forcément persécuté. Oui, mais moi je ne suis pas fragile. Je ne veux pas aller dehors.

Je fixais l'inconnu. J'attendais qu'il parte. Je ne voulais plus l'entendre.