Repérage des lieux.

Dean :

J'entendais les soldats mais je ne bouger pas.

- Tu serais libre de faire se que tu veut dehors et tu connaitrait plus de chose.

Je lève les mai ns en l'air pret a me faire arrêter. Pourquoi je faisais sa ? Bonne question...pour lui surement...même si il ne montre rien il se sent seul...et je le voie bien.

- Tu n'est pas seul.

Je lui fit mon tout premier sourire sincère.

- Okan -

" - Va te faire foutre, bon sang, je ne te connais pas. Tu vas juste leur servir de cobaye, ici."

J'étais parti au quart de tour, déséquilibré et accroché au mur. J'ouvrais de grand yeux. J'avais horreur que l'on souhaite se rapprocher de moi, de n'importe quelles manières. J'étais incapable d'agir normalement, je n'aimais pas ça. J'en étais presque effrayé. Et pourtant, lorsque les soldats furent là pour s'attaquer à l'inconnu, je me retrouvais au milieu. Il m'avait suffit de tendre le bras entre les soldats et lui, et le mur de glace imaginé se forma instantanément. Je sentais le courant d'air froid me parvenir doucement. J'étais si prêt de la glace... Et je comprenais que j'avais fait quelque chose de véritablement con. J'étais bloqué du même côté que l'inconnu. Et, en plus, si je brisais le mur, je me ferais tuer pour traitrise. Ils n'ont pas que moi comme gamin fidèle, malheureusement.

Dean :

- Alors je servirais de cobaye.

Puis je le voie s'emporter ainsi que les gardes qui approcher mais avant même que les garde reagissent ce garcon avait cree un mur de glace.

- Ne restons pas la ! 

J'ai pris sa main et je suis partis en courant.

- Okan -

Mais qu'est-ce qu'il faisait? Qu'est-ce que JE faisais?! Je le regardais prendre ma main. La sienne était chaude, presque brûlante pour moi. Je trouvais la sensation dérangeante, voir désagréable. Je le suppliais de me lâcher, tandis qu'il me guidait je-ne-sais-où. Le seul hic était que si nous voulions nous enfuir, la seule porte accessible pour nous était la sortie. Je maudissais l'inconnu d'être venu ici.

Dean :

Je n'écouter pas ses supplice et je continuais de courire sans le lacher puis une fois devant la porte je l'ouvre et je sort avec lui. Nous sortons de l'établissement en vitesse nous retrouvant dans une forêt puis que je sais que nous sommes assez loin je m'arrête pour reprendre mon souffle.

- Okan -

Je le suivais toujours, malgré quelques fois où je me plantais sur le sol pour qu'il me lâche. Il n'obéissais pas, et préférait continuer sa route. Il me faisait mal...

Nous avons continué notre course jusqu'à nous retrouvé en pleine forêt. Bon, le lieu ne me plaisait pas, mais ne me m'était pas mal à l'aise. Je préférais ça plutôt qu'une ville. Lorsqu'il me lâcha, je manquais de très peu de lui gifler la joue droite. Je me suis retins au dernier moment, récupérant ma main que je serrais dans l'autre, et je le regardais, essoufflé. J'attendais qu'il dise quelque chose, n'importe quoi. Je ne savais pas où j'étais, avec qui d'ailleurs, ce qu'il me voulait et ce que nous devrions faire à présent.

Dean :

Après avoir récupéré mon souffle je le regarde enfin. 

- Je suis Dean et toi tu es Okan si j'ai bien lu ton dossier.

Je regarder partout et personne en vue et tant mieux.

- Il y a longtemps je me suis avanturé dans le laboratoire et j'y ai voler des documents mais avant de m'échapper je suis tomber sur une pièce ou il faisait des test et c'était toi que j'avais vue ...tu était plus petit...même si tu a changer ton désespoir ce jour la quand tu ma vue a travers cette petite vitre moi je l'ai vue...je me suis promis que une fois avoir appris les plan du labo par coeur je viendrais te libéré de tout sa et voila. Je ne penser pas tomber sur toi en arrivent directement par contre mais c'était plutôt une bonne chose finalement. Tu es libre de faire se qui te plait ,tuer , me tuer peut importe mais ne retourne pas dans cette endroit.

- Okan -

Cette fois, l'envie était trop forte. Je le giflais, puis reculais sur le coup.

" - Je t'interdis de t'approcher de moi, tu entends?! Tu ne sais absolument rien de moi ! Ce ne sont que des mots sur un bout de papier, bon sang, mais il n'y a pas que moi dans ce laboratoire ! Alors pourquoi?! Je t'ai rien demandé ! J'étais très bien avant que tu foutes tout en l'air ! Ma famille est là-bas ! Je t'ai rien demandé ! Tout est de ta faute, je fais quoi, moi maintenant, hm?! T'as pensé à ça, avant de venir?!"

Je lui en voulais énormément. Je ne pouvais pas retourné là-bas, j'en étais bien conscient. Mais dehors, j'étais vulnérable. Je ne devais pas utiliser mon pouvoir, sous peine de me faire remarquer. Et je ne valais rien contre des soldats armés.

Dean :

Je ne réagissais pas a la giffle que je venais de recevoir.

- Comme si que j'allais te laisser seul...tu va venir chez moi , tu n'est pas seul. Et si c'est ta famille comme tu dit ils ne te traiteraient pas ainsi.

Je le regarde.

- Okan -

" - Laisse moi tranquille."

Si j'essayais de rester le plus dur possible, ma voix tremblait. Je mourrais d'envie d'éclater en sanglot. Dans ma tête, tout se bousculait. Qu'est-ce que j'irais faire, chez lui, de toute manière? Je n'étais pas comme "lui". Je n'étais pas comme tous les autres. J'avais des signes, des attraits physiques qui comptaient, et qui se verront forcément. Et il ne pourra pas me cacher éternellement. Surtout farouche comme j'étais, tient.

Mais dans un sens, il avait plus que raison. Je ne pouvais pas rentrer. Je ne pouvais pas rester ici, ou repartir vers la ville, je risquais beaucoup trop. Le laboratoire ne se permet pas de perdre des humains artificiels dans la nature, de par notre dangerosité. J'étais complétement désemparé, c'était le mot juste.